C'était une simple Baby Sitter mais bien équipée

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il y a 6 ans

C'était une simple Baby Sitter mais bien équipée

Ce soir j'avais une soirée de prévue chez des amis, mes parents eux aussi étaient de sortis. Ils avaient un dîner de prévu loin et finissant très tard ne prévoyant de rentrer que vers les coups de 1 ou 2 heures du matin. Ils avaient donc engagé une baby sitter pour ma demi sœur de 5 ans. Moi j'ai 18 ans, je suis en première année de fac de sport, physiquement je suis pas mal foutu 1m76, 70 kilos, châtain, plutôt fin et musclé. J'ai une petite amie même si je l'ai déjà trompé à plusieurs reprises. Je suis porté sur le sexe, le mien d'ailleurs fait un bon 17 cm ce qui me rend assez fier.

L'avantage d'habiter chez ses parents qui ne sont pas très technologies c'est que je peux laisser traîner mon pc sans avoir besoin d'effacer l'historique ou d'effacer quoi que ce soit, ma copine ne venant jamais chez moi je ne risquais rien. Ce qui était préférable car j'avais des recherches très hétéroclites, du sexe classique, lesbien, gang bang, sm, sexe hard, shemale, soumission, partouze enfin vraiment j'explorais un peu tout.

Et puis finalement la soirée fut annulée, me voila rentrant chez moi vers 23 heures, en rentrant je vois la baby-sitter assis sur le canapé regardant la télé. On se salue cordialement en se faisant la bise. Elle s'appelle donc Katia. Elle me dit que ma sœur est couchée. Je vais donc dans ma chambre posé mes affaires. Katia m'offrais un sentiment mitigé un visage qui était mignon mais un peu masculin, un bon cul et surtout des seins assez imposants qui avaient l'air faux surtout ce qui n'était pas pour me déplaire n'ayant jamais essayé. Je me disais donc que perdu pour perdu j'allais tenter ma chance. Je ne fis même pas attention à mon PC qui avait changé de place.

Je revins dans le salon m'assis à côté d'elle, lança quelques banalités sur l'émission, lui posa quelques questions et puis ayant l'habitude de séduire assez facilement je posa ma main sur sa cuisse et je lui dis :

  • Tu sais que mes parents rentrent très tard, ma sœur dort si tu veux on peut aller s'amuser un peu dans ma chambre je te trouve vraiment très jolie tu sais

Elle retira ma main de sa cuisse et dit alors :

  • Je sais pas pour qui tu te prends mais d'une je suis pas une de ses salopes qu'apparemment tu as l'habitude de serrer aussi facilement et de deux je ne suis pas sur que tu aurais autant de succès.

Je resta figé quelques instants et je rougis ne sachant trop quoi répondre je choisis stupidement l'option agressive mais mélangé à ma honte ce qui donna un ridicule :

  • Non mais euh attends tu.. tu as euh fouillé dans mon PC ? T'as pas le droit hein c'est euh privé enfin ça va pas du tout ça je vais en parler à euh mes parents

Et là je fus interrompu par une gifle.

  • Ferme ta gueule ! Tu vas en parler à tes parents ?! Donc tu vas leur dire tout ce que tu mates ? Ne me prends pas pour une conne ! Tu vas bien fermer ta gueule c'est tout ce que tu vas faire.

Je ne savais quoi répondre à ça, elle avait raison de toute façon. J'avais la main sur ma joue sa gifle ayant été assez forte je sentais encore la douleur à cet endroit. Puis elle repris :

  • Mais bon si tu veux qu'on s'amuse ça se discute. Fous toi à poil on va voir si ça vaut le coup.

Je repris confiance je me dis que finalement peut-être que ça l'avait excité qu'elle était juste un peu dominatrice sur les bords. Confiant en mon physique je me retrouvais à poil devant elle. Elle me dit de me branler pour voir à quoi ressemblait ma queue en action. Je me retrouvais donc rapidement à poil la queue dressée devant elle me disant que la soirée allait finalement bien se finir. Elle dit alors :

  • Je dois avouer que t'es con mais t'es pas mal foutu même si ta queue manque un peu de taille mais bon c'est pas comme si ça allait servir en même temps.

J'étais tellement obsédé par ses seins et par le fait de contracter le plus discrètement mes muscles que je ne fis pas attention. Je ne fis pas attention à ses mots, mais surtout à la bosse qui s'était formé dans son pantalon. En restant assise elle enleva alors le bouton de son pantalon, descendit la braguette plongea la main dans son boxer et sorti une queue.

J'ai d'abord eu un mouvement de recul. Mon cerveau rembobina à partir du moment ou je l'avais rencontré et tout devient plus logique. Son visage un peu masculin, sa f o r c e c'était une trans. Et le plus déstabilisant dans tout ça c'était son sexe impressionnant il devait bien faire un bon 20 cm par 4.

  • Pour une fois t'as une shemale en vrai et pas derrière ton écran, et elle est carrément plus membré que toi en plus. Alors tu voulais t'amuser ? Ben viens assume maintenant et viens prendre ma queue dans ta bouche de salope.

Je restais immobile quelques secondes, avant d'être tellement excité par la situation que sans trop réfléchir je m'agenouillais pour venir attr a p e r son gland dans ma bouche.

  • Et bien il en aura pas trop fallu pour te convaincre, apparemment ton caractère de chienne dormait en toi il suffisait de le réveiller.

Au début elle me laissait faire je suçais, lécher et embrasser sa queue de tout son long, la caressant avec ma main je prenais de plus en plus de plaisir et paradoxalement ma queue débandait au fur et à mesure.

  • Par contre non pas que ce soit désagréable mais tu vas aller cherche une capote histoire que je te défonce le cul avant que tes parents arrivent ils ne vont pas tarder comme ça pour la prochaine fois j'aurais une base je pourrais faire de toi une bonne pute.

J'obéissais mettant mon cerveau en pause et alla chercher une capote.

Je ne réalisais pas encore que j'allais me faire enculer pour la première fois...

Tandis que je prenais le paquet de capote dans le tiroir de ma chambre, le téléphone de Katia sonna. C'était mes parents ils rentraient plus tôt que prévu.

Je revenais tout de même avec le paquet de capote, Katia était debout elle s'était rhabillée.

"T'as de la chance tes parents rentrent dans 5 minutes ton cul va échapper à la défonce ce soir mais tu ne perds rien pour attendre. Je crois bien que tes parents partent un week end bientôt t'imagines pas ce qui t'attend si c'est vraiment le cas".

Je repartais ranger les capotes et remettre mes habits déçu que cela s'arrête si soudainement. J'avais honte mais c'est vrai je ne pouvais pas me la cacher.

Mes parents arrivèrent tout de suite après. Je restais dans ma chambre sans faire de bruit.

"Alors Katia tout s'est bien passé ?

  • Oui comme d'habitude elle a été adorable. D'ailleurs votre fils, Sébastien je crois est rentré plus tôt que prévu il est dans sa chambre je crois

  • Ah d'accord. Du coup concernant le week end dans deux semaines tu es libre pour t'occuper de la petite et dormir ici on aurait besoin de toi le samedi vers 17 heures et on reviendrait le dimanche vers 18 heures ? Ce serait payé plus hein ne t'inquiètes pas.

  • Oui bien sur pas de souci avec plaisir.

  • Parfait alors on se tient au courant je te préparerai une chambre et tout ce qu'il faut pour te doucher tu auras juste à t'occuper du petit chou

  • Merci beaucoup à bientôt alors"

A l'écoute de cette conversation l'excitation m'envahissait mais la peur s'y mélangeait aussi, qu'est-ce qui m'attendait.

Les jours suivants je ne pensais qu'à ça. Au bout de quelques jours je reçu un sms de sa part :

" samedi prochain je ne veux pas voir ta gueule de pute avant que ta soeur dorme donc tu ne rentreras chez toi qu'a 20 heures et là ça va être ta fête, bien sur tu as intérêt à être propre. J'aime que ma chienne soit nickel".

Je passais mes soirées à regarder des vidéos de trans en ligne. Regardant des mecs se faire défoncer je devenais de plus en plus impatient.

Le jour même je passais donc la journée en extérieur puis je finis par aller au sauna juste pour pouvoir prendre une douche.

Il était environ 19 heures et j'étais prêt j'attendais assis en face de chez moi que Katia couche ma soeur. J'ai attendu une bonne heure comme ça avant de voir enfin les lumières de la chambre s'éteindre. Je rentrais alors dans la maison.

"Une vraie bonne salope dis donc, pile à l'heure pour venir prendre sa bite. Tu devais vraiment être une petite salope frustrée avant qu'on se rencontre finalement. Tu vas être content pour toi j'ai pris du viagra ça veut dire que tu vas manger ma queue sans t'arrêter"

J'écoutais mais je ne réalisais pas vraiment ce allait m'arriver.

"Du coup tu vas rester planté là comme une conne longtemps ou tu vas te foutre à poil et venir me sucer la queue ?"

Elle était sur le canapé et la elle se releva pour baisser son pantalon et laisser apparaître sa grosse queue déjà dressée. J'arrivais vers elle j'étais nu, je m'agenouillais pour aller sucer sa queue.

"Avant de pouvoir sucer ma queue tu vas foutre ta langue dans mon cul comme une bonne chienne"

Je n'hésitais pas une seconde. Je plongeais dans son cul, ma langue caressant son anus. Elle appuya sur ma tête me disant de bien plonger ma langue dans son trou. Je léchais aussi profond que possible pendant qu'elle se branlait. Je ne quittais pas des yeux ses couilles et sa queue, impatient de pouvoir les lécher.

Elle tirait ma tête en arrière et coller ma gueule contre sa queue.

"Tu vas avoir des crampes à mâchoire parce que ma queue n'est pas prête de débander salope"

Je commençais par par poser ma langue sur ses couilles puis je remontais jusqu'à son gland avant de prendre sa queue en bouche, je la collais au fond de ma gorge et faisait des va et viens. Elle était plus grosse et plus dure que la dernière fois et j'aimais vraiment ça. Elle poussai des gémissements.

"Putain t'es la meilleure des salopes avec qui j'ai baisé. J'avais une pute qui suçait aussi bien t'es fait pour ça tu sais !"

Je suçais goulûment sa queue, je ne prêtais même plus attention à Katia j'étais juste concentré sur son sexe. Je prenais mon pied comme jamais, je caressais ses couilles avec mes mains. Je sentais se gland se contracter. Quand d'un coup elle retira ma tête.

"Putain j'en peux plus je vais t'exploser le cul"

Elle me mit a quatre pattes, sorti de une capote de son sac l'enfila sur sa queue et me mis mon caleçon dans la bouche.

"Faut pas que tu réveilles ta sœur parce que là t'as pas idée de comment je vais te limer sans retenue ma salope"

Je reçu une grosse claque sur le cul, elle me dit de me détendre. Elle écarta mes jambes avec son pied. Elle s'agenouilla derrière moi, me tira la tête par les cheveux en arrière, posa son autre main ma hanche.

Je sentis son gland se poser contre mon anus

A ce moment là j'étais dans un état d'excitation que je n'avais encore jamais connu, il était tel que je n'appréhendais même pas ce dépucelage.

Katia me dit alors :

"Dégage tes coudes du sol, fous ta gueule parterre et mets tes deux mains devant ta bouche ! Parce que tu vas crier et jouir comme une petite pute que tu es et ta sœur dort et tu as intérêt à ce qu'elle ne se réveille pas."

Je m’exécutais rapidement tout en sentant toujours son gland bouger sur mon anus. J'étais allongé le cul bien en l'air, cambré et totalement offert. Ses deux mains tenait alors mes fesses, comme une femelle qu'on allait prendre.

Elle releva alors une de ses deux jambes, restant un genou au sol, l'autre jambe relevée pour avoir un meilleur angle de pénétration.

Katia cracha dans mon cul histoire d'avoir un semblant de lubrification. Je la vis prendre sa queue ferme dans sa main et faire glisser son gland doucement mais fermement à l'intérieur de mon cul.

Je ressentis une très brève douleur, presque immédiatement remplacé par une sensation encore inconnue mais totalement enivrante. Je sentis son bas ventre taper contre mes fesses. Sa queue était entièrement rentré en moi. Je poussais un long râle de soulagement mêlait a du plaisir.

Je tenais plus mon corps, heureusement que ses deux me tenait fermement au niveau des hanches. La sensation d'avoir ce sexe si dur, si long en moi avait touché des parties de mon corps encore inconnu. Mon sexe bien qu'il ne fût pas en érection mouillait allègrement. Je lâchais prise, je ne contrôlais plus mon corps, pourtant elle avait simplement fait glisser doucement son sexe en moi. Sa clémence allait être de courte durée. La dernière chose dont je me souvienne parfaitement ce sont ses mots :

"Mon dieu ce cul est merveilleux à la fois serré, en même temps tellement confortable à l'intérieur. Si t'étais une vraie bonne femelle tu serais mouillé comme jamais. Je vais te défoncer, te féconder sale chienne".

Au moment où retentit ce "ienne" la dernière syllabe de sa phrase ce fut le début d'un mélange de sensations que je ne saurais encore aujourd'hui décrire avec précision.

Elle commença à me pénétrer, cette fois-ci à la faveur de coups de reins beaucoup plus grand, plus rapide et sans ménagement. Son premier coup de rein fut tellement sec que je ressentis une douleur lorsque ses couilles percutèrent les miennes. C'est bien la seule douleur que je ressentis.

Mon cul s'était ouvert, elle ne se privait pas d'en profiter. Elle me défonçait sans retenue, faisant claquer ses couilles contre les miennes à chaque coup de reins, son bas ventre frappant littéralement mes fesses. Sans compter les fessées qu'elle lâchait fermement emporté par le mouvement de plaisir qu’entraînait le dépucelage de mon cul.

Ses mouvements n'ont pas ralentis un seul instant, rythmé aussi par mes gémissement bruyants, heureusement caché par mes mains sur ma bouche. Elle me défonçait sans relâche. Avec le recul je ne crois pas qu'elle me prêtait attention, elle prenait son pied se servant de moi comme d'un simple vide couille, un objet de plaisir. Sa queue que j'avais l'impression de sentir grossir en moi, passait et repasser entre mes fesses pour me remplir.

Jusqu'alors j'avais oublié que j'étais un homme, me sentant comme une femme se faisant baiser, impuissante face au plaisir et la domination de l'homme. Très vite je pus me rappeler du contraire. Tandis que je ne bandais toujours pas, je sentais mon sexe se contracter pour finalement, sans que je puisse retenir quoi que ce soit, sentir une éjaculation incroyable sortir parterre. Encore un petit peu de l'énergie qui me restait pour essayer de contrôler mon corps qui s'évaporait tant la sensation de cette éjaculation avait été intense.

Inconsciemment je me relâchais encore un peu, pensant naïvement terminé sur cette orgasme quasiment jubilatoire. Bien mal m'en a pris. Katia se retira bien de mon cul, à aucun moment cela était suivi du projet de terminé là-dessus.

Elle me releva, me posa sur le canapé sur le dos, laissant mon cul dépassé dans le vide. Elle me déplaça avec une telle facilité, que je ressentais encore une fois cette sensation agréable d'être dominé, une absence totale de virilité simplement contrôlé.

"Ne crois pas un seul instant que parce que tu as joui comme une chienne que c'en est terminé. T'es là pour mon plaisir salope, le tien on s'en fout"

Elle me fourra mon caleçon dans la bouche. Fit un nœud avec un tee shirt et une veste, pour lier à la fois mon pied droit avec ma main droite et la même chose côté gauche. J'étais là pleinement offert à elle, plus de retenue possible ni de résistance. J'étais attaché, comme bailloné et mon corps à disposition. Je ne me doutais pas que cette position lui offrait encore un meilleur accès à mon trou.

Elle repris sa queue dressée comme jamais, pour fourrer ses 20 centimètres jusqu'au fond de mon cul. Encore plus profond qu'en levrette, je tournais légèrement de l’œil tant le plaisir m'envahit, sans compter mon cri masqué par mon caleçon.

Très vite je revins à la raison, elle me gifla, puis saisit mon menton avec sa main.

"Remarque moi dans les yeux quand je te défonce comme une chienne. Regarde bien partir toute ta virilité, toute ta masculinité. Je veux que tu sentes à quel point t'es qu'une chienne, une femelle qui se fait défoncer. Je veux que tu ressentes la frustration d'avoir une queue, que tu aimerais avoir une chatte pour te faire défoncer encore plus. Je ne veux pas que tes yeux quittent les miens tant que je te lime salope !"

Son regard était autoritaire, ferme. Sa mâchoire était serré tant elle s'appliquait à me défoncer le plus fort possible. Le fait de me voir attaché sans moyen de résistance, amplifiait grandement le plaisir. Son sexe était tellement dur, je sentais à chacun de ses passages les veines frottait sur les parois de mon anus.

Au bout de longues minutes de limage intense, faisant remuer mon ridicule petit sexe tel un clitoris gonflé. Je sentais le plaisir montait en elle. Son souffle s'accélérait, parsemé de petits gémissements à peine audible. Alors que je pensais la voir éjaculer tout en me pénétrant, elle se retira d'un coup sans prévenir de mon cul.

Retira la capote, pour sans prévenir venir au dessus de moi, passant entre mes membres toujours attachés venir s'agenouiller sur mon torse, retirer le caleçon et me limer la bouche.

En à peine quatre aller-retour elle lâcha tout son sperme dans ma bouche, poussant un grand râle de plaisir et de soulagement.

"Avale bien tout, nettoie bien ma queue ma salope".

Avec une légère appréhension j'avalais ce liquide visqueux qui remplissait ma bouche. Cela me provoqua un léger dégoût. Pas franchement agréable, pas insurmontable non pus de toute façon il le fallait.

Je m'occupais alors de bien nettoyer son sexe pas encore totalement retombé de sa splendeur précédente. Elle semblait satisfaite. Elle me détacha, me saisit par les cheveux pour me mettre parterre à quatre pattes, la tête collait au sol juste à côté de mon sperme. Elle mit son pied sur ma tête.

"Allez salope nettoie ça avec ta langue".

Tandis que je m’exécutais à contrecœur, elle me dit :

"T'es une sacré bonne salope, j'aurais pas imaginé ça. Entre ta bouche à pipe et on cul taillé pour accueillir des queues on va bien s'entendre. J'ai quelques amis qui vont avoir hâte de t'essayer".

Je me sentais vraiment honteux à ce moment précis. A la fois du fait de lécher mon propre sperme parterre. Mais surtout à la sensation de l’excitation ressentit de sa phrase, prouvant que j'étais en passe de devenir une vraie salope...

Cela faisait deux jours que Katia s'était occupé de moi et j'étais déjà en manque. Mon excitation ne retombait pas. Je devenais accroc à son sexe, son cul mais surtout à elle. Cette façon de m'humilier, quasiment me dresser, me faisait sentir femelle et mon dieu que j'aimais ça !

Heureusement je crois que la satisfaisait puisque je recevais un SMS le soir même :

"Dès que tu sais que tes parents seront barrés mais avec la petit tu me tiens au courant !".

C'était à la fois long et la fois court mais je savais que mes parents allait rendre visite à des amis à eux pour tout le week end. Je lui signifiais donc immédiatement et sa réponse fut rapide.

"Bien à la minute où tes parents sont partis, tu me préviens. Quand j'arrive je veux que tu sois rasé entièrement et que m'attendes a poil dans l'entrée à genoux petite pute. Bien compris ?"

Je lui répondis " Oui madame".

J'ai eu comme réponse : "Si il y a le moindre truc que tu ne respectes pas là-dedans tu vas la regretter pétasse, et ne réponds pas je ne veux pas entendre parler de toi si ce n'est pour me vider les couilles sinon tu ne me sers à rien"

Je me retrouvais seul dans ma chambre en train de bander. C'était pathétique mais tellement véridique sur l'effet qu'elle me procurait.

Plus tard dans la semaine je me rendais vraiment compte de comment elle m'avait transformé. J'avais reçu un sms de ma copine me signifiant la fin de notre relation. f o r c e est de constater que cela ne m'avait absolument pas touché; je répondais d'ailleurs un simple "Ok c'est mieux comme ça".

En réponse j'ai eu le droit "Je vois que tu tenais vachement à notre relation, quand je pense que j'ai failli avoir des sentiments pour toi, t'es vraiment qu'un gros con".

Je choisissais de ne pas répondre, au moins j'avais l'esprit tranquille. Les jours suivants me paraissaient interminables, je n'avais qu'une hâte que mes parents s'en aillent.

Le grand jour était enfin arrivé. Le SMS était déjà écrit j'ai simplement cliqué sur le bouton envoyer. Je me précipitais sous la douche pour me passer un dernier coup de rasoir sur tout le corps et pour être parfaitement propre pour Katia.

Je me lavais, me séchait le plus rapidement possible pour attendre derrière la porte à genoux comme elle me l'avait demandé.

Cinq minutes après sans toquer, elle rentrait, refermant très rapidement la porte derrière elle. Sans un mot, elle ouvrait la braguette de son jean, pour fourrer sa queue dans ma bouche. Elle positionnait alors son pied de manière à ce que sont talon écrase ma queue, mettait ses deux mains derrière ma tête et commençait à me baiser la bouche.

Quel soulagement de la retrouver elle, sa queue, ce goût dans ma bouche sans son talon pour écraser ma queue je suis sur que je banderais à cet instant. J'étais frustré de ne pas sentir ses couilles mais je contentais déjà de ça. Au bout de quelques minutes elle finissait par tout lâcher au fond de ma bouche m'obligeant à avaler. Je devais nettoyer sa queue avant qu'elle ne la range.

"Tu m'excuses hein je me déshabille pas mais bon c'était juste pour me vider les couilles, quand tu vas aux chiottes tu te fous à poil non ? Bon bref dans la chambre de tes parents magne toi"

Je me demandais ce qu'elle avait en tête, me baisait dans le lit de mes parents ? le fait est que je m'affairais à quatre pattes jusque dans leur chambre.

"Bien fous-toi debout salope"

Elle m'inspectait alors le corps voir si j'étais bien rasé. Elle terminait son inspection par une grosse gifle pour me féliciter. Je me sentais tellement content de l'avoir satisfaire, c'était honteux je le savais au fond mais j'aimais ça.

"Bon que je t'explique rapidement j'ai organisé une sorte de soirée chez moi, j'ai invité quelques amis , homme et femmes une dizaine. Pour commencer on va pas trop charger non plus. Evidemment je les ai choisis connaissant leurs goûts sexuels et devine quoi ? Le clou de la soirée c'est que je ramène une petite lopette à défoncer, à humilier et m a l t r a i t e r. Donc ce soir tu vas être une petite pute aux ordres et tu vas te faire défoncer, t'es content ?

  • Oh oui madame. Une gifle instantanée

  • Maîtresse Katia pour toi sale chienne

  • Oui pardon Maîtresse Katia

  • Bon on va voir si ta mère a de quoi te transformer en pute aguichante."

L'avantage c'est que ma mère faisait la même taille que moi a quelques cm près donc ces vêtements avaient de forte chances de m'aller. Et ce fut le cas ce qui permet à Katia de me faire un essayage complet.

Sauf qu'à un moment mon sexe se mit à bander alors que j'essayais une culotte, qui n'était au demeurant pas du tout sexy. Ce qui amusa beaucoup Katia.

"Ben alors t'es tellement une lopette que tu bandes de mettre les vêtements à Maman ? T'es vraiment qu'une m e r d e . Branle toi dedans jusqu'à jouir."

Je m’exécutais il ne me fallut que quelques secondes pour venir, bien évidemment je devais avaler tout mon sperme en léchant la culotte. Les brimades de Katia pendant ce temps, elles ne s'arrêtaient pas.

Au final elle choisir des collants arrivant en haut de cuisse, un boxer en dentelle rouge. Une jupe volante, soutien gorge et un top débardeur. Mais ce n'était pas fini. Elle avait ramené une perruque blonde et du maquillage.

Elle s'appliquait pour faire en sorte que je ressemble à une pute vulgaire, le rouge à lèvre rouge criant entre autre. Fond de teint, fard à paupière tout y passait.

Je savais, en me regardant dans le miroir à ce moment, que j'avais franchi un point de non retour. Ce que je m'apprêtais à faire allait me transformer pour toujours. J'en avais tellement envie que l'hésitation n'avait pas le temps de s'installer.

Dernière surprise que Katia m'avait réservé, elle avait pris en cachette ma pointure et avait acheté une paire de talon haut qui finissait de compléter son oeuvre. Je ressentais à une sorte de poupée gonflable prête à l'emploi. D'autant qu'elle avait scotché mes couilles et mon sexe de manière à ce que cela soit le plus plat possible. C'était tellement serré que je ne pouvais même si je le voulais bander.

J'avais clairement du mal à marcher mais peu importe, je ne pense pas que j'allais devoir beaucoup le faire ce soir. Je montais à l'avant de sa voiture et nous arrivions assez rapidement chez elle. Monter les deux étages avec les talons, occasionnèrent deux chutes, sans gravité, mais je finissais par arriver en haut. Il était 17 heures 30 environ. Trente minutes avant que les invités n'arrivent.

Katia m'installa tel un trophée. Les mains attachées à une poutre en l'air, les deux pieds attachés et écartés par une barre, le tout avec un bâillon.

"Voila le temps que tous les invités arrivent tu vas rester comme ça histoire qu'il puisse voir la marchandise. Une fois tout le monde installé je te détacherais tu vas te transformer en bonne petite pute et tu vas nous faire un strip-tease et t'as intérêt à être bandante crois-moi ! Tu garderas tes collants, tes chaussures et le boxer et après tu n'auras plus à réfléchir juste à obéir."

La soirée s'annonçait inoubliable...

Bdsmvar

Trop bien 🙂
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